Les cocottes ont la cote !
À vous poulardes, rôtis et autres plats, parfaitement mijotés ! Aussi à l’aise sur les fourneaux que sur la table, la cocotte séduit par sa simplicité d’usage et sa décontraction.
Dans l’engouement des plats à partager et du fait maison, il est un ustensile qui tire particulièrement bien son épingle du jeu : la cocotte ! Son principe est basique : ce récipient avec couvercle et poignées, souvent en fonte – mais qui se décline aussi en céramique, en verre, en aluminium ou en tôle d’acier émaillé –, peut être aussi bien utilisé sur le feu (gaz, électrique, induction) que sur les braises, et même au four. La chaleur, uniformément répartie, assure une cuisson douce, parfaitement adaptée aux plats en sauce et aux ragoûts. Mais la cocotte peut aussi braiser, saisir et rôtir. Souvent émaillée à l’intérieur comme à l’extérieur, elle s’entretient facilement.
L’engouement pour la cocotte ne se limite pas à la cuisine. En effet, sa faculté de passer du fourneau à la table en fait un outil apprécié de tous. Sans chichi, elle fait office de plat de présentation et se fait une place au milieu des convives. Et cela, d’autant plus facilement que les fabricants la déclinent désormais en de multiples formats, mais aussi coloris et autres éditions spéciales ou limitées, pour ajouter au plaisir de l’usage celui du style. Teintes classiques ou pop, avec ou sans décor, la cocotte se prête à toutes les fantaisies.
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Le Creuset, l’indémodable
Depuis 1925 et la rencontre entre Armand Desaegher et Octave Aubecq, deux industriels belges, Le Creuset est devenu le symbole de la cocotte en fonte émaillée. La signature de la maison ? La couleur, depuis l’utilisation d’un orange inspiré de la fonte en fusion à l’intérieur des moules en sable, jusqu’aux multiples déclinaisons et séries spéciales. Chaque cocotte reçoit au moins deux couches d’émail pour protéger la pièce à l’intérieur comme à l’extérieur et recevoir sa teinte. Le Creuset décline aussi les formats, les formes de ses cocottes, mais aussi de tous les autres contenants pour cuisiner comme un chef.
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Staub, la valeur sûre
À Merville, dans les Hauts-de-France, une semaine de travail est nécessaire à sa production, ainsi que l’expertise d’une vingtaine de personnes. Staub navigue entre grande tradition et haute technologie. L’innovation de la marque ? Son couvercle à picots, qui permet aux gouttes de condensation qui se forment d’arroser régulièrement les aliments, permettant de préparer des viandes et des légumes tendres et pleins de saveurs. Ronde ou ovale, déclinée dans de multiples coloris et formats, la cocotte est la garante d’une cuisson aussi saine que savoureuse…
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Cookut, la tout-terrain
Inusable ! L’« Incroyable Cocotte » de Cookut, réalisée en fonte d’aluminium avec un épais fond en inox, est quatre fois plus légère qu’un modèle traditionnel – son poids est de 1,5 kg. Antiadhérente, elle permet neuf modes de cuisson sans matières grasses et s’entretient facilement. Elle est également compatible avec tous les types de feux (four inclus) et se décline en deux diamètres : 24 ou 28 cm (4,5 ou 7 l). Son atout ? Elle est à composer à loisir entre coloris du corps, poignée, maniques et multiples accessoires : couscoussier, couvercle à tajine, panier bambou vapeur, panier pour friture…
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Mauviel 1830, l’experte
Depuis 1830 et sept générations, Mauviel fabrique dans la baie du Mont-Saint-Michel des ustensiles culinaires de haut rang. D’abord en cuivre, la manufacture décline l’acier, la fonte et l’inox multicouche, comme la collection emblématique « M’Cook » composée de cinq couches (une d’acier inoxydable, trois successives d’aluminium et une extérieure en acier inoxydable ferritique). 70 artisans s’affairent à créer les 1300 références au catalogue, parmi lesquelles les cocottes, bien sûr. Rien d’étonnant alors à ce que les grands noms de la cuisine (Yannick Alléno, Anne-Sophie Pic, Pierre Sang Boyer, ou récemment Jean Imbert) s’associent à la marque.
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Serax, la ligne sobre
Le chef hollandais Sergio Herman a quitté ses fourneaux le temps d’une collaboration avec l’entreprise belge Serax pour imaginer une ligne de marmites et de poêles en fonte, revêtues d’une couche émaillée. Compatible avec toutes les sources de chaleur, la collection « Surface » offre le plaisir d’une cuisson parfaite, et une ligne en rupture avec les codes du secteur. Le design des couvercles a été particulièrement travaillé pour permettre la récupération de la condensation et l’humidification permanente des aliments, qui peuvent mijoter longtemps sans s’assécher.
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Anaori, l’ovni culinaire
Partant du principe d’infliger le minimum de stress à chaque ingrédient pour en préserver les éléments nutritifs et les sublimer, Anaori, experte dans la fabrication de produits en graphite de carbone, a imaginé le kakugama. Cet ustensile d’un nouveau genre permet de griller, mijoter, frire, pocher, et même cuire à la vapeur. Son atout ? Le graphite de carbone, un matériau naturel qui conduit et conserve la chaleur d’une manière optimale. Sa forme circulaire intérieure d’une contenance de 3,4 ou 5,1 l permet de répartir la chaleur. Sous le couvercle qui sert de poêle, un autre en cyprès du Japon permet de stabiliser l’humidité.
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