Flora Mikula, nouvelle cheffe de l’Alpes Hôtel du Pralong

Mathilde Bourge | 25/01/2024 12:16

La cheffe Flora Mikula signe l’offre de restauration de l’Alpes Hôtel du Pralong à Courchevel. Cuisine bourgeoise mais aussi plats de montagne sont à l’honneur.

Après trois ans de pause, l’Alpes Hôtel du Pralong à Courchevel a rouvert ses portes. L’établissement, repensé du sol au plafond par le groupe Dokhan Luxury Hotels, accueille notamment une nouvelle cheffe en cuisine, Flora Mikula, chargée des différents espaces de restauration.

Une offre variée pour tous les goûts

La cheffe, qui vient d’être promue Chevalier de la Légion d’Honneur, exprime tout son talent dans un superbe écrin, au cœur du domaine des 3 Vallées. Elle écrit la carte du Musher, un restaurant d’une centaine de couverts intérieurs, disposant également d’une terrasse panoramique de plus de 100 places assises.

Ouverte sept jours sur sept, la table accueille les clients du petit-déjeuner au dîner, avec une large sélection de plats à la carte : spécialités de montagne (fondue, gratin de crozets, vacherin chaud aux truffes, etc), cuisine bourgeoise (artichaut vinaigrette, pot-au-feu, blanquette de veau) ou encore bar à soupes… Il y en a pour tous les goûts. “Beaucoup d’hôtels à Courchevel ont deux voire trois restaurants. Nous avons fait le choix d’en avoir un seul, mais qui réunit toutes les envies. Certains clients sont là pour une semaine, alors il faut leur proposer quelque chose de varié. Aussi, quand nous recevons de grandes tablées, chacun est libre de manger selon son envie”, souligne Flora Mikula, précisant que quelques produits d’exception sont également à la carte, comme la tarte fine de Saint-Jacques aux truffes ou la salade de homard.

Sur la terrasse, les skieurs pourront s’installer autour d’un brasero géant pour déguster de remarquables pièces de viande, comme la côte de bœuf Tomahawk ou le cochon au romarin. Au dessert ou au goûter, Flora Mikula axe son offre sur un immense buffet de pâtisseries, proposant des grands classiques comme la tarte tatin, le mille-feuille ou encore l’île flottante aux pralines roses. “J’ai cinq pâtissiers dans mon équipe et nous faisons tout nous-mêmes, des brioches aux cakes en passant par les gâteaux. Il n’y a pas de dessert à l’assiette”, précise la cheffe.

Matin, midi et soir, à toute heure en fait, on trouve à Singapour de quoi contenter son appétit. Du gastro, du bistrot, du tradi, des cuisines de tous les pays… il y en a pour tous les goûts, tous les budgets, et l’on passe sans vergogne dans la même journée de la street food au restaurant gastronomique de renommée mondiale. Immersion dans une cité-État cosmopolite, où manger est un loisir que chacun, quelle que soit sa condition, prend très au sérieux.

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