48 heures à Montpellier

Il est d’usage de parler de l’Écusson pour désigner le centre-ville de Montpellier, sorte de pentagone borné grosso modo par la place de la Comédie, la rue de la République, la promenade du Peyrou, le Jardin des plantes, le boulevard Louis-Blanc et le Corum. On ne risque pas de se perdre à l’intérieur, il suffit de suivre le mouvement pour passer par tous les endroits intéressants. Plus que des visites imposées, il y a des moments qu’il faut connaître à Montpellier : prendre un bain de jouvence sur les marches ensoleillées de l’église Saint-Roch, très bel exemple de néogothique avec sa superbe rosace surplombant un fronton d’ogives ; siroter un verre en terrasse place de la Canourgue, sous les arbres ou les parasols ; se promener dans le Jardin des plantes, poumon vert de la ville ; visiter la cathédrale Saint-Pierre et ses étranges tours coniques qui la font ressembler à un château fort ; arpenter les ruelles du vieux Montpelllier, entre les rues Petit-Saint-Jean, Roucher et Alexandre-Cabanel, pour rejoindre la vibrionnante rue Saint-Guilhem jusqu’à la place Castellane ; descendre la rue de l’Aiguillerie jusqu’à l’esplanade Charles-de-Gaulle et son beau musée Fabre, avant de rejoindre la ville entière sur l’immense place de la Comédie. Le gastrotouriste ne sera pas en manque : grandes tables, néobistrots et tradition occitane sont abondamment représentés, et les quelque 40 restaurants sélectionnés par Gault&Millau le prouvent. Et pour remplir son panier, les sites s’accordent avec l’intérêt touristique. Vous ne manquerez pas les halles Castellane, au cœur de la ville, mais aussi les halles Laissac, en bordure de l’Écusson, ou encore le petit quartier des Arceaux, plein de cachet, et aux nombreux artisans de bouche. Enfin, Montpellier est une base parfaite pour explorer les environs : au nord, les vignes de l’appellation Pic-Saint-Loup et les superbes paysages du parc du Haut-Languedoc ; au sud, dès les beaux jours, on rejoint la Méditerranée et les stations préférées des Montpelliérains, Palavas-les-Flots et Carnon-Plage. Plus que des visites imposées, il y a des moments qu’il faut connaître à Montpellier : prendre un bain de jouvence sur les marches ensoleillées de l’église Saint-Roch, très bel exemple de néo-gothique avec sa superbe rosace surplombant un fronton d’ogives ; un verre en terrasse place de la Canourgue, sous les arbres ou les parasols ; une promenade dans le Jardin des Plantes, poumon vert de la ville ; la cathédrale Saint-Pierre et ses étranges tours coniques qui la font ressembler à un château-fort ; les ruelles du vieux Montpelllier, entre les rues Petit Saint-Jean, Roucher, Alexandre Cabanel pour rejoindre la vibrionnante rue Saint-Guilhem jusqu’à la place Castellane ; la rue de l’Aiguillerie pour descendre jusqu’à l’esplanade Charles de Gaulle et son beau musée Fabre avant de rejoindre la ville entière sur l’immense place de la Comédie. Le gastrotouriste ne sera pas en manque : grandes tables, néo-bistrots, tradition occitane sont abondamment représentés et les quelques 40 restaurants sélectionnés par Gault&Millau le prouvent. Et pour remplir son panier, les sites s’accordent avec l’intérêt touristique. Vous ne manquerez pas les halles Castellane, au cœur de la ville, mais aussi les halles Laissac, en bordure de l’Ecusson ou encore ce petit quartier des Arceaux, plein de cachet, et aux nombreux artisans de bouche. Enfin, Montpellier est une base parfaite pour explorer les environs : au nord les vignes du Pic Saint-Loup et les superbes paysages du Parc du Haut-Languedoc ; au Sud, dès les beaux jours, on rejoint la Méditerranée et les stations préférées des Montpelliérains, Palavas les Flots et Carnon Plage.