Jean-Marie VETIER
Chef : 1 restaurantSi certains naissent avec une cuillère d’argent dans la bouche, d’autres le font avec une spatule à la main. C’est le cas de Jean-Marie Vetier, issu d’une famille de restaurateurs. «Si je fais ce métier, c'est à cause de mes deux oncles Michel et Yves Lecocq, l’un cuisinier, l'autre pâtissier. Et mes parents ont monté un hôtel-restaurant», reconnaît-il. C’est donc en toute logique qu’il part se former au lycée hôtelier de Dinard. En 1991, après son service militaire, il fait ses armes dans la maison familiale, le Brigantin, à Erquy (Côtes-d'Armor), pendant cinq ans.
Après quelques saisons comme glacier et rôtisseur, il intègre la brigade de L'Escu de Runfao, à Rennes. Six mois plus tard, il monte à Paris pour trouver du travail. «J’ai commencé à La Maison d’Alsace, puis j’ai fait quelques restaurants à gauche à droite», se souvient-il. En 1999, il entre à La Taverne, boulevard des Italiens, comme second. Puis, en 2005, il est engagé à La Coupole. La même année, il rejoint au bistrot germanopratin Le Petit Zinc. «J’y suis resté moins d’un an car on me proposait ma première place de chef chez Alfred, rue de Versailles.»
Depuis 2009, Jean-Marie Vetier officie à l'Auberge Bressane, dans le 7e arrondissement parisien. Le chef y propose une cuisine traditionnelle française dans le décor typique d’une auberge. Gault&Millau lui décerne rapidement 2 toques.
I.B.
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